Pour toi Dahdouha
Afin que tu saches combien tu es belle... je sais pas si j'ai réussi à traduire ta gracieuse âme.
mahabbati la plus grande ma chère
L'isolement de l'absent
Dhouha Bou Ter'a
Laisse-moi les restes de la terre avant d'aller dormir ............
Ton frissonnement et la nuit sont d'une même quintessence
Toi, l'étranger, j'aurais déjà essayé tous les suicides de l'écriture
Quand l'odeur chute ……….
Je serais une femme apprêtant/ prévoyant son corps avant la création.....
Peut-être que le corps qui semble avoir oublié sa confusion/ son désarroi / son désordre sur le lit de la langue/parole
Je connais cet émergé d'entre les doigts du moment de l'assoupissement/ l'engourdissement……..
Je connais la rivière qui s'arrondit autour du flanc
Et j'étais la comblée de détente lorsque les lieux tombent par-dessus la faim
Tu étais la dernière partie de l'étape/ pas… Et tu étais la victoire de l'eau…
La victoire du sel… Et la victoire la chemise des amoureux dans les erreurs
Je vois un autre temps qui ne disparaît/ périt pas dans le sable
Je vois un astre se mouvant/ flottant dans l'eau......... je vois le ciel aussi proche que la terre qui ne peut être disponible
Dhouha Bou Ter‘a
Poétesse de la tunisie